domenica 21 dicembre 2014

Prose e versi del collegio I





                                                                     I                                 
                                                               Prologo
Il sole era ancora caldo, eppure non rischiarava quasi più la terra; come una torcia posta davanti a volte gigantesche, non le rischiarava più con una flebile luce, così il sole torcia terrestre, si spegneva lasciando fuggire dal suo corpo di fuoco un'ultima e flebile luce, lasciando ancora tuttavia vedere le foglie verdi degli alberi, i piccoli fiori che si flettevano e la vetta gigantesca dei pini, dei pioppi e delle querce secolari. Il vento rinfrescava, come dire una fresca brezza agitava le foglie degli alberi con un brusio quasi simile a quello che faceva il rumore delle acque argentee del ruscello che scorreva ai miei piedi. Le felci curvavano la loro fronte verde davanti al vento. Mi addormentai, non senza essermi abbeverato all'acqua del ruscello.                                                                                                            I
Prologue
Le soleil était encore chaud ; cependant il n'éclairait presque plus la terre ; comme un flambeau placé devant les voûtes gigantesques ne les éclaire plus que par une faible lueur, ainsi le soleil, flambeau terrestre, s'éteignait en laissant échapper de son corps de feu une dernière et faible lueur, laissant encore cependant voir les feuilles vertes des arbres, les petites fleurs qui se flétrissaient, et le sommet gigantesque des pins, des peupliers et des chênes séculaires. Le vent rafraîchissant, c'est-à-dire une brise fraîche, agitait les feuilles des arbres avec un bruissement à peu près semblable à celui que faisait le bruit des eaux argentées du ruisseau qui coulait à mes pieds. Les fougères courbaient leur front vert devant le vent. Je m'endormis, non sans m'être abreuvé de l'eau du ruisseau.



II
Sognai che......ero nato a Reims nell'anno 1503.
Reims era allora una piccola città o, per meglio dire, un borgo tuttavia rinomato a causa della sua bella cattedrale, testimone dell'incoronazione del re Clodoveo.
I miei genitori erano poco ricchi, ma molto onesti: essi non possedevano che una piccola casa che gli era sempre appartenuta, e che era in loro possesso già vent'anni prima che fossi nato io in più qualche migliaia di franchi, e bisogna anche aggiungere i luigini delle economie di mia madre.
Mio padre era ufficiale* nelle armate del Re. Era un uomo alto, magro, capelli neri, barba, occhi, pelle dello stesso colore.... benché alla mia nascita non avesse che 48 o 50 anni, di certo  si sarebbe potuto dargliene 60 oppure....58. era di carattere vivace, bollente, si incolleriva sovente e non voleva soffrire nulla che a lui spiaceva.
Mia madre era ben differente: donna dolce, calma, si spaventava per un nonnulla, e tuttavia teneva a casa in un ordine perfetto. Lei era così calma che mio padre la divertiva come una signorina giovane. Io ero il più amato. i miei fratelli erano meno robusti di me e tuttavia più alti.
Io amavo poco lo studio, intendo l'imparare a leggere a scrivere a contare.... Ma se era per mettere in ordine, coltivare un giardino, fare delle commissioni, alla buon'ora, questo mi piaceva.
Io mi ricordo che un giorno mio padre mi aveva promesso venti sodi, se avessi fatto been una divisione; Io cominciai; ma non potei finire. Ah! quante  volte mi ha promesso dei soldi dei giocattoli, di dolci, una volta persino cinque franchi, se potevo leggergli qualche cosa...malgrado questo mio padre mi mise in classe da quando ebbi 10 anni. Perchè-Mi dicevo- apprendere il greco, il latino? Non lo so. infine, non si ha bisogno di questo. Che mi importa a me che io sia promosso, a cosa serve essere promosso? A nulla, non è vero? Si, però; dicono che non si trova un posto se non si è promossi, Io, io non voglio un posto; io vivrò di rendita. E anche ne volessi uno, perché imparare il latino? Nessuno parla questa lingua. Qualche volta ne vedo sui giornali. Ma Dio grazie, io non sarò giornalista. Perché imparare la storia e la geografia? si ha, è vero bisogno di sapere che Parigi è in Francia, ma non ci si chiede a che grado di latitudine?  Della storia, imparare la vita di Chinaldone di Nabopolassar, Di Dario, di Ciro, Di Alessandro e degli altri compari segnalati per i loro nomi diabolici, non è un supplizio? che mi importa a me che Alessandro è stato celebre? che mi importa... Cosa ne sappiamo se i latini sono esistiti? Forse è qualche lingua fabbricata. E anche se fossero esistiti, che mi lascino vivere di rendita e conservino la propria lingua per se stessi. Che male gli ho fatto perché essi mi mettano al supplizio? Passiamo al greco....questa sporca lingua non è parlata da nessuno, nessuno al mondo!...Ah Perdincinbacco di perdincinbacconcello! Caspiterina! Io vivrò di rendita; non è mica bello consumare i calzoni sui banche di scuola, perbacconcindinbaccone! Per essere lustrascarpe, per avere un posto da lustrascarpe bisogna fare un esame, perché i posti che vi concedono sono di essere lustrascarpe, o porcaro o bovaro. grazie al cielo io non ne voglio perdindirindina. E in più come ricompensa  vi appioppano schiaffoni, vi chiamano animale, che non è vero omiciattolo etc. 
Ah perbacconcione! 
Il seguito prossimamente
Arthur (1864)

II

Je rêvai que... j'étais né à Reims, l'an 1503.
Reims était alors une petite ville ou, pour mieux dire, un bourg cependant renommé à cause de sa belle cathédrale, témoin du sacre du roi Clovis.
Mes parents étaient peu riches, mais très honnêtes : ils n'avaient pour tout bien qu'une petite maison qui leur avait toujours appartenu et qui était en leur possession vingt ans avant que je ne fus encore né, en plus, quelques mille francs auxquels il faut encore ajouter les petits louis provenant des économies de ma mère.
Mon père était officier* dans les armées du roi. C'était un homme grand, maigre, chevelure noire, barbe, yeux, peau de même couleur... Quoiqu'il n'eût guère, quand j'étais né, que 48 ou 50 ans, on lui en aurait certainement bien donné 60 ou... 58. Il était d'un caractère vif, bouillant, souvent en colère et ne voulant rien souffrir qui lui déplût.
Ma mère était bien différente : femme douce, calme, s'effrayant de peu de chose, et cependant tenant la maison dans un ordre parfait. Elle était si calme que mon père l'amusait comme une jeune demoiselle. J'étais le plus aimé. Mes frères étaient moins vaillants que moi et cependant plus grands. J'aimais peu l'étude, c'est-à-dire d'apprendre à lire, écrire et compter... Mais si c'était pour arranger une maison, cultiver un jardin, faire des commissions, à la bonne heure, je me plaisais à cela.
Je me rappelle qu'un jour mon père m'avait promis vingt sous, si je lui faisais bien une division ; je commençai ; mais je ne pus finir. Ah ! combien de fois ne m'a-t-il pas promis... de sous, des jouets, des friandises, même une fois cinq francs, si je pouvais lui... lire quelque chose... Malgré cela, mon père me mit en classe dès que j'eus dix ans. Pourquoi - me disais-je - apprendre du grec, du latin ? je ne le sais. Enfin, on n'a pas besoin de cela. Que m'importe à moi que je sois reçu... à quoi cela sert-il d'être reçu, à rien, n'est-ce pas ? Si, pourtant ; on dit qu'on n'a une place que lorsqu'on est reçu. Moi, je ne veux pas de place ; je serai rentier. Quand même on en voudrait une, pourquoi apprendre le latin ? Personne ne parle cette langue. Quelquefois j'en vois sur les journaux ; mais, dieu merci, je ne serai pas journaliste. Pourquoi apprendre et de l'histoire et de la géographie ? On a, il est vrai, besoin de savoir que Paris est en France, mais on ne demande pas à quel degré de latitude. De l'histoire, apprendre la vie de Chinaldon, de Nabopolassar, de Darius, de Cyrus, et d'Alexandre, et de leurs autres compères remarquables par leurs noms diaboliques, est un supplice ?
Que m'importe à moi qu'Alexandre ait été célèbre ? Que m'importe... Que sait-on si les latins ont existé ? C'est peut-être quelque langue forgée ; et quand même ils auraient existé, qu'ils me laissent rentier et conservent leur langue pour eux. Quel mal leur ai-je fait pour qu'ils me flanquent au supplice ? Passons au grec... Cette sale langue n'est parlée par personne, personne au monde !...
Ah ! saperlipotte de saperlipopette ! sapristi ! moi je serai rentier ; il ne fait pas si bon de s'user les culottes sur les bancs, saperlipopettouille !
Pour être décrotteur, gagner la place de décrotteur, il faut passer un examen ; car les places qui vous sont accordées sont d'être ou décrotteur, ou porcher, ou bouvier. Dieu merci, je n'en veux pas, moi, saperlipouille ! Avec ça des soufflets vous sont accordés pour récompense ; on vous appelle animal, ce qui n'est pas vrai, bout d'homme, etc...
Ah ! saperpouillotte !...
La suite prochainement.
Arthur
- Ancien titre : Narration. Reproduction du texte du manuscrit, tel qu'il a été donné par Suzanne Briet, d'après l'original.
- * Colonel des Cent-Gardes, (note de Rimbaud).

                                                                                                   

lunedì 15 dicembre 2014

Les poètes de sept ans

Valentine Hugo Les poètes de sept ans
À M. P. Demeny 

Et la Mère fermant le livre du devoir
S'en allait satisfaite et très fiére sans voir,
Dans les yeux bleus et sous le front plein d'éminences 
L'âme de son enfant livrée aux répugnances.                                            

E la madre chiudeva il libro del dovere, e se ne andava soddisfatta e molto fiera, senza vedere negli occhi blu e sulla fronte piena di distinzioni, l'anima del figlio in preda a repulsioni.

Tout le jour il suait d'obéissance ; très
Intelligent ; pourtant des tics noirs, quelques traits,
Semblaient prouver en lui d'âcres hypocrisies.
Dans l'ombre des couloirs aux tentures moisies,
En passant il tirait la langue, les deux poings
À l'aine, et dans ses yeux fermés voyait des points.
Une porte s'ouvrait sur le soir : à la lampe
On le voyait, là-haut, qui râlait sur la rampe,
Sous un golfe de jour pendant du toit. L'été
Surtout, vaincu, stupide, il était entêté
À se renfermer dans la fraîcheur des latrines :
Il pensait là, tranquille et livrant ses narines.
Tutto il giorno egli sudava di obbedienza; molto intelligente, tuttavia  dei tic neri, alcuni tratti ,sembravano provare in lui delle aspre ipocrisie.  Nell'ombra dei corridoi dal colore disfatto, passando lui faceva le linguacce, i due pugni all'inguine, e nei suoi occhi chiusi vedeva dei punti. Una porta si apriva sulla sera: alla lampada, lo si vedeva là in alto che rantolava sulla rampa. Sotto un golfo di giorno pendente dal tetto. L'estate soprattutto, vinto ,stupido, lui era caparbio nel rinchiudersi nel fresco delle latrine. Là pensava tranquillo e tendeva le sue narici.
Quand, lavé des odeurs du jour, le jardinet
Derrière la maison, en hiver, s'illunait,
Gisant au pied d'un mur, enterré dans la marne
Et pour des visions écrasant son œil darne,
Il écoutait grouiller les galeux espaliers.
Pitié ! Ces enfants seuls étaient ses familiers
Qui, chétifs, fronts nus, œil déteignant sur la joue,
Cachant de maigres doigts jaunes et noirs de boue
Sous des habits puant la foire et tout vieillots,
Conversaient avec la douceur des idiots !
Et si, l'ayant surpris à des pitiés immondes,
Sa mère s'effrayait ; les tendresses, profondes,
De l'enfant se jetaient sur cet étonnement.
C'était bon. Elle avait le bleu regard, - qui ment !
Quando pulito dagli odori del giorno, il giardino dietro la casa, in inverno,s'allunava. Giacendo ai piedi di un muro interrato nella marna e per delle visioni schiaccianti  il suo occhio storno, lui ascoltava brulicare le spalliere marcite, Pietà! Questi bambini soli erano i suoi famigliari, che scarni, fronte nuda, occhio stinto sulla guancia, nascondendo delle magre dita gialle e nere di fango. Sotto degli abiti puzzolenti di sciolta e vecchiotti, parlavano con la dolcezza degli idioti! E se avendolo sorpreso a delle pietà immonde, sua madre si spaventava; le tenerezze profonde, del bambino si gettavano su questo stupore. Era buono. Lei aveva lo sguardo azzurro che mente!
valentine Hugo-Les poètes de sept ans 
À sept ans, il faisait des romans, sur la vie
Du grand désert, où luit la Liberté ravie,
Forêts, soleils, rives, savanes ! - Il s'aidait
De journaux illustrés où, rouge, il regardait
Des Espagnoles rire et des Italiennes.
Quand venait, l'œil brun, folle, en robes d'indiennes,
À Huit ans, - la fille des ouvriers d'à côté,
La petite brutale, et qu'elle avait sauté,
Dans un coin, sur son dos, en secouant ses tresses,
Et qu'il était sous elle, il lui mordait les fesses,
Car elle ne portait jamais de pantalons ;
- Et, par elle meurtri des poings et des talons,
Remportait les saveurs de sa peau dans sa chambre.
A sette anni lui faceva dei romanzi sulla vita. del gran deserto dove splende la libertà rapita, foreste, soli, ripe, savane! S'aiutava con dei giornali illustrati dove rosso guardava il  riso delle spagnole e delle italiane. Quando veniva, l'occhio scuro, matta, con vestiti da indiana a otto anni la figlia dell'operai vicini. La piccola brutale, e che ella era saltata in un angolo sulla sua schiena, scuotendo le trecce. Lui era sotto di lei e le mordeva le natiche, perchè lei non portava mai le mutandine; E pestato da lei di pugni e scalciate, riportava i sapori della sua pelle nella sua camera.
Il craignait les blafards dimanches de décembre,
Où, pommadé, sur un guéridon d'acajou,
Il lisait une Bible à la tranche vert-chou ;
Des rêves l'oppressaient chaque nuit dans l'alcôve.
Il n'aimait pas Dieu ; mais les hommes, qu'au soir fauve,
Noirs, en blouse, il voyait rentrer dans le faubourg
Où les crieurs, en trois roulements de tambour,
Font autour des édits rire et gronder les foules.
- Il rêvait la prairie amoureuse, où des houles
Lumineuses, parfums sains, pubescences d'or,
Font leur remuement calme et prennent leur essor !
Temeva le squallide domeniche di dicembre, dove impomatato su un tavolino di mogano, leggeva una Bibbia con la copertina verde-cavolo. Dei sogni l'opprimevano ogni notte nel letto. non amava Dio; ma gli uomini che alla sera fulva, Neri, in camicia vedeva rientrare al sobborgo, dove i banditori in tre rulli di tamburo, Fnno attorno degli editti ridere e rumoreggiare le folle. Sognava la prateria amorosa dove delle ondate luminose, profumi sani, pubescenze d'oro, fanno le loro movenze calme e prendono il loro volo.
Et comme il savourait surtout les sombres choses,
Quand, dans la chambre nue aux persiennes closes,
Haute et bleue, âcrement prise d'humidité,
Il lisait son roman sans cesse médité,
Plein de lourds ciels ocreux et de forêts noyées,
De fleurs de chair aux bois sidérals déployées,
Vertige, écroulements, déroutes et pitié !
- Tandis que se faisait la rumeur du quartier,
En bas, - seul, et couché sur des pièces de toile
Écrue, et pressentant violemment la voile !
 E come lui assaporava soprattutto le cose ombrose, quando dentro la camera nuda con le persiane chiuse, alta e blu acremente presa dall'umidità, lui leggeva il suo romanzo meditato senza interruzione,  Pieno di cieli pesanti ocracei e di foreste annegate, di fiori di carne esplosi ai boschi siderali. Vertigine scoscendimenti, disfatte pietà! Mentre si sentiva il rumore del quartiere, in basso, solo e addormentato su dei pezzi di tela grezza, e presentendo violentemente la vela!

sabato 13 dicembre 2014

Le terre d'origine dalla parte dei Cuif.

Arthur ritratto da Carjat 
Come ha scritto Pierre Petitfils nella sua biografia di Arthur Rimbaud "Si dice che la terra formi il carattere dell'uomo" Arthur nacque il 20 ottobre del 1854 a Charleville, dove in questo periodo è in corso una campagna di sottoscrizione pubblica per la realizzazione di un nuovo museo dedicato ad Arthur.
http://www.charleville-mezieres.fr/Flash-Infos/Souscription-musee-Rimbaud/La-Ville-lance-une-campagne-de-souscription-pour-la-realisation-du-nouveau-musee-Rimbaud

 La famiglia materna i Cuif erano originari del cantone di Attigny ai confini tra due catene montuose: l'Ardenne- Champagne e l'Argonne, . Quella parte di Francia offre un paesaggio caratterizzato da grandi praterie bordate di filari regolari di alberi e numerosi ruscelli. Le abitazioni vi sono raggruppate in frazioni, e sull'orizzonte la linea delle foreste. Si immagina che qui in passato gli abitanti abbiano dovuto duramente lavorare il terreno, nonché avere coraggio e pazienza, essendo terra di confine, quindi facilmente oggetto di invasioni straniere, dai normanni, agli inglesi, fino ai tedeschi soprattutto, a più riprese, l'ultima nel 1940, un'altra 26 anni prima nel 1914 e poi quella del 1870 vissuta da Arthur e ancora prima nel 1815. Ma non è sempre stato così, se pensiamo che Pipino il breve fu battezzato ad Attigny, dove Clovis II aveva fatto costruire il suo palazzo. Ma tornando agli avi da parte di madre di Arthur, nel XVI secolo nei dintorni di Attigny si estendeva un vasto dominio tra castelli, parchi giardini, appartenenti al signore di Roche, e là vicino a Wallart si stendeva un'altra signoria, la cui campagna  coltivata da dei contadini di cui molti da tempo immemore si chiamavano Cuif e che vivevano all'ombra dei castelli.
In  Sangue cattivo, Mauvais sang, secondo racconto di Una stagione all' inferno, Arthur parla dei suoi antenati "Dei galli miei antenati ho l'occhio blu slavato, il cervello stretto e l'impaccio nella lotta. Trovo barbaro il mio vestire quanto il loro, ma non imburro la mia chioma....Famiglie come la mia che devono tutto alla dichiarazione dei diritti dell'uomo."
In effetti solamente nel 1789 Jean-Baptiste Cuif, nato nel 1714acquistò una parte del dominio di Roche, suo nipote Jean-Nicolas, fu il padre di Vitalie Cuif la madre di Arthur.